Air Bud : L'As du Volley-ball
Titre original : Air Bud : Spikes Back Production : Dimension Films Keystone Family Pictures Date de sortie USA : Le 24 juin 2003 (Vidéo) Distribution : Walt Disney Home Entertainment Genre : Sport |
Réalisation : Mike Southon Musique : Brahm Wenger Durée : 86 minutes |
Disponibilité(s) en France : |
Le synopsis
En ce début de vacances d'été, Andréa, 13 ans, est déprimée de voir sa meilleure amie déménager pour la Californie. Bien décidée à aller la retrouver, elle imagine pour financer son voyage, de créer une agence de baby-sitting pour animaux mais son projet tourne vite à la catastrophe. Connor, son voisin, lui suggère alors de rejoindre son équipe de beach-volley qui concourt à un championnat dont le premier prix est un voyage en Californie. Andréa saute sur l'occasion et une fois de plus, Tobby va faire des prouesses... |
La critique
Réalisée au Canada et sortie aux États-Unis sous le nom de Air Bud : Spikes Back, Air Bud : L'As du Volley-ball, n'est pas à proprement parler une production Disney. En effet, simplement distribuée en vidéo sur le marché américain par la compagnie de Mickey, c'est le label Paramount qui s'est chargé de sa distribution française dans un premier temps avant de voir Disney France la reprendre en 2014.
Après le basket (Air Bud), le football américain (Un Toutou en Or), le football "européen" (Air Bud : L'As du Football) et le baseball (Un Toutou à la Rescousse !), voici le tour du beach-volley d'être à l'affiche de Air Bud : L'As du Volley-ball. Le filon est - c'est un euphémisme - totalement épuisé. L'histoire, à bout de souffle, est un mauvais copier-coller des quatre premiers épisodes. Les personnages, souffrant d'un changement intégral de casting, ne prennent même plus la peine de chercher à se rendre attachants. Et la simple modification du nom du chien dénommé Buddy dans les trois premiers opus, et rebaptisé Tobby dans cet épisode, nuit un peu plus à l'ensemble.
Niais à souhait et insupportable à suivre, Air Bud : L'As du Volley-ball est une production industrielle avant d'être une oeuvre cinématographique : passez vite votre chemin tant le film est un navet complet !