Charles III
Portrait d'un Roi Controversé

Charles III : Portrait d'un Roi Controversé
L'affiche
Titre original :
Charles : In His Own Words
Production :
National Geographic
1895 Films
Date de diffusion USA :
Le 28 avril 2023
Genre :
Documentaire
Création :
Tom Jennings
Musique :
James Everingham
Durée :
44 minutes
Disponibilité(s) en France :

Le synopsis

Le 8 septembre 2022, le monde apprend avec émotion la disparition de la reine Elizabeth II à l’âge de quatre-vingt-seize ans. Sans attendre, son fils aîné, Charles, hérite du trône. Il devient ainsi le souverain du Royaume-Uni et des autres royaumes du Commonwealth, un rôle auquel il s’est préparé durant plus de soixante-dix ans, une période particulièrement longue marquée par de nombreux événements qui, heureux ou malheureux, ont forgé l’homme qu’il est par la suite devenu.

La critique

rédigée par
Publiée le 18 janvier 2025

La famille royale d’Angleterre n’a eu de cesse, au cours des dernières décennies, d’attirer sur elle la lumière. Depuis sa naissance et surtout depuis son couronnement, la Reine Elizabeth II a en particulier su capter les regards des cinéastes, des journalistes et des peuples du monde entier. Dans son ombre, les caméras n’ont évidemment pas manqué de saisir également sa famille, en particulier l’héritier, Charles, dont les moindres faits et gestes, publics et privés, ont été sans relâche épiés et commentés.

Charles Philip Arthur George voit le jour le 14 novembre 1948 au Palais de Buckingham, au cœur de Londres. Sa mère, Elizabeth, est encore princesse du Royaume-Uni. Mariée à Philip Mountbatten, duc d’Édimbourg, elle hérite du trône à la mort de son père, George VI, le 6 février 1952. Devenant de fait héritier, Charles, trois ans, reçoit immédiatement les titres de duc de Cornouailles, duc de Rothesay, baron Renfrew, ainsi que de prince et grand steward d’Écosse. Confié à sa gouvernante, Catherine Peebles, chargée de son éducation jusqu’à ses huit ans, l’enfant étudie sur les bancs de l’Hill House School puis de la Cheam Preparatory School. À la demande de son père, il est inscrit en avril 1962 à Gordonstoun, un pensionnat situé dans le nord-est de l’Écosse. Victime de brimades et de certaines violences de la part de certains de ses camarades, l’adolescent vit ce qu’il qualifiera plus tard de véritable « peine de prison ». Afin de renforcer le caractère de son fils et en faire un homme, Philip d’Édimbourg l’envoie durant l’année 1966 à la Geelong Grammar School de Corio, en Australie. Le cursus du prince s’achève enfin au Trinity College de Cambridge d’où il sort en juin 1970 avec une Licence en anthropologie, archéologie et histoire.

Premier membre de la famille royale à obtenir un diplôme universitaire, Charles est investi Prince de Galles et Duc de Chester dès le 26 juillet 1958. Son investiture n’est cependant effective que le 1er juillet 1969 lors d’une cérémonie organisée dans la cour du château de Caernarfon. Retransmis en direct à la télévision, l’événement est marqué par les contestations nombreuses émises par les Gallois qui désapprouvent le fait qu’un Anglais obtiennent ce titre. Avec une certaine dose de courage, le Prince accepte d’aller à la rencontre des manifestants dont il apprend la langue. L’année suivante, il fait son entrée à la Chambre des Lords. Engagé dans la Royal Air Force, Charles reçoit ses ailes en août 1971. Il entame ensuite une carrière dans la marine et sert à bord du destroyer HMS Norfolk et des frégates HMS Minerva et HMS Jupiter. Pilote d’hélicoptère chevronné, il part un temps en opération avec l’équipage du HMS Hermes, puis commande le chasseur de mines côtier HMS Bronington.

En 1976, Charles se forme à la gestion des affaires de l’État grâce à l’entremise du premier ministre James Callaghan. Nourrissant une passion pour le théâtre, les arts, le jardinage et pour l’environnement, il commence à assumer ses fonctions officielles grâce au Prince’s Trust, une organisation caritative qu’il fonde en 1976 et grâce à laquelle il aide des jeunes à suivre une formation puis à trouver un emploi. À la même époque, les journalistes commencent à se mêler de sa vie sentimentale. Toujours célibataire, le Prince fait les choux gras de la presse qui lui attribue des dizaines de relations plus ou moins avérées. Son grand-oncle, Louis Mountbatten, qu’il considère comme un second père, lui permet de vivre ses romances en secret en mettant à sa disposition une garçonnière dans laquelle il reçoit certaines conquêtes, notamment Camilla Shand qu’il ne peut épouser en raison de l’opposition de la famille royale. Les rumeurs sont finalement neutralisées au moment de l’annonce de ses fiançailles avec Diana Spencer, une jeune aristocrate de vingt ans originaire du Norfolk.

Charles a trente-deux ans lorsqu’il épouse Diana au cours d’une cérémonie grandiose organisée le 29 juillet 1981 en la cathédrale Saint-Paul. Le couple donne naissance à deux fils, William, né le 21 juin 1982, et Henry, dit Harry, né le 15 septembre 1984. Épiée par la presse, cette union n’est cependant pas heureuse. Charles délaisse Diana et retrouve régulièrement son amour de jeunesse, Camilla, qui a épousé Andrew Parker Bowles, un officier de l’armée, en 1973. La séparation du couple princier est annoncée en 1992 par le premier ministre John Major. Le divorce est prononcé le 28 août 1996. Charles voit son impopularité croître constamment, plus encore après le décès de Diana, tuée dans un accident de la circulation survenu à Paris le 31 août 1997.

Mécène offrant son image à plus de quatre-cents organisations, Charles termine les années 1990 plus haï que jamais. Les années passant, et l’âge avançant, les Anglais parviennent malgré tout à se réconcilier avec lui. Sa liaison avec Camilla est officialisée en 2005, la reine Elizabeth II consentant finalement à leur mariage célébré dans la chapelle Saint-Georges du château de Windsor le 9 avril 2005. La santé de la souveraine déclinant, Charles est associé à de nombreuses cérémonies et déplacements à travers le pays et le monde. C’est notamment lui qui se rend aux obsèques du pape Jean-Paul II célébrées la veille de son second mariage. En novembre 2013, il remplace la Reine lors du Sommet du Commonwealth réuni à Colombo, au Sri Lanka. Cinq ans plus tard, en 2018, les membres du Commonwealth actent d’ailleurs que Charles prendra les rênes de l’organisation après le décès de sa mère. En novembre 2021, il représente le Royaume-Uni au moment où la Barbade fait le choix de s’émanciper de la Couronne en devenant une république. En mai 2022, il se charge lui-même de lire le discours de la Reine devant le Parlement britannique. En coulisse, il s’autorise en outre d’écrire à certains membres du gouvernement, outrepassant son devoir de neutralité en matière politique ce qui ne manque pas de faire scandale.

À la mort d’Elizabeth II le 8 septembre 2022, Charles hérite du trône. Choisissant Charles III comme nom de règne, il a soixante-treize ans. Souverain le plus âgé au moment de recevoir la couronne, il est sacré à l’Abbaye de Westminster le 6 mai 2023. Sa seconde épouse, Camilla, est sacrée Reine consort. Son règne débute alors avec la volonté d’être proche du peuple. Les visites d’États se succèdent en Allemagne puis en France où le couple royal assiste notamment aux commémorations du quatre-vingtième anniversaire du Débarquement le 6 juin 2024. Un cancer diagnostiqué durant l’année l’oblige cependant à renoncer à une partie de ses engagements.

Dès sa naissance, Charles III s’est retrouvé au cœur de l’attention. Des kilomètres de films ont ainsi été tournés plus ou moins officiellement. L’héritier n’a pas un an que déjà, il est le sujet principal du court-métrage Prince Charles at Play (1949). D’autres films, courts et longs, suivent, Royal Destiny (1953), Une Reine est Couronnée (1953), Royal Children (1961), Royal Family (1969), A Prince of Wales (1969), Royal Heritage (1977), The Royal Wedding (1981), A Royal Gala (1989), Diana: The Nation’s Farewell (1997), King Charles and Queen Camilla (2006), Highgrove: Alan Meets Prince Charles (2010), Prince Charles: The Royal Restoration (2012), Prince Charles: Inside the Duchy of Cornwall (2019), Charles: Fifty Years a Prince (2019), Charles & Camilla: Against All Odds (2022), Charles: The Monarch and the Man (2022), King Charles III: The Great Journey (2022)… La fiction n’a elle-même pas manqué de s’emparer de sa personnalité dans Charles & Diana: Unhappily Ever After (1992), The Queen (2006), The Crown (2016-2023), King Charles III (2017), Spencer (2021)…

En 2023, le réalisateur Tom Jennings ajoute à son tour une pierre à l’édifice avec le documentaire Charles III : Portrait d’un Roi Controversé. Originaire de Cleveland où il voit le jour le 7 août 1961, le cinéaste est l’auteur de dizaine de documentaires produits depuis la fin des années 1990. Nommé pour un prix Pulitzer en 1994, Jennings s’est ainsi intéressé à des dizaines de sujets aussi divers et variés que les trains (Trains Unlimited, 1998), les armes à feu (Tales of the Gun, 1999-2000), la Seconde Guerre mondiale (Dangerous Missions, 2001), l’épopée des cavaliers Louis Brunke and Vladimir Fissenko (20,000 Miles on a Horse, 2007), l’assassinat de John Kennedy (JFK, Mort en Direct, 2009), le tueur en série Ted Bundy (The Ted Bundy Death Row Tapes, 2012), la catastrophe de Pearl Harbor (The Lost Tapes: Pearl Harbor, 2016), le monstre du Loch Ness (Loch Ness Monster: New Evidence, 2019) ou bien encore la conquête spatiale (Apollo: Mission to the Moon, 2019 ; Derrière l’Étoffe des Héros, 2020). Il s’est par ailleurs déjà penché sur la famille royale britannique en 2017 avec Diana: In Her Own Words réalisé à partir des confessions faite par feue la princesse au journaliste Andrew Morton en 1992, puis, en 2020, Elizabeth II, Destin Royal.

Écrit par Ron Nelson, Charles III : Portrait d’un Roi Controversé propose de revenir sur quelques grands événements vécus par le Roi avec pour objectif de comprendre ses origines, son passé et surtout les motivations qui ont fait de lui l’homme qu’il est devenu. Le documentaire se divise ainsi en cinq parties. La première, « Le Prince sous les projecteurs », revient sur l’enfance du futur roi puis sa vie passée sous l’œil des caméras du monde entier qui épient ses moindres faits et gestes. La deuxième, « Le Prince devient un homme », s’arrête sur sa scolarité mouvementée. Dans « Le Prince rebelle », le film présente son investiture en tant que Prince de Galles, ses années au service de l’armée, sa passion pour le théâtre et la comédie avant de parler de son activisme et de ses ingérences dans les affaires du pays.

Avec « À la recherche d’une Reine », les spectateurs sont mis face à la vie amoureuse de Charles III, de ses premières conquêtes vues en secret grâce à l’entremise de son grand-oncle, Lord Mountbatten, à son remariage avec Camilla, en passant évidemment par son union avec Diana. Enfin, « Le Prince parent » décrit les relations que Charles entretient avec ses fils, sa proximité avec eux suite au décès tragique de leur mère, puis les déchirements et les querelles.

Pour construire Charles III : Portrait d’un Roi Controversé, le réalisateur Tom Jennings s’est plongé dans des centaines d’heures d’archives de toutes sortes. Il peut s’agir d’images personnelles de la famille royale captées pour tel ou tel film, d’extraits de journaux télévisés, d’émissions spéciales tournées lors des grands événements tels que les investitures, les visites à l’étranger et les mariages. Disparates, les séquences sont collées entre elles par des vues aériennes de Londres, de Windsor, de la campagne anglaise… Le documentaire étant dépourvu de narration, chaque image est commentée par des personnalités ayant côtoyé le Roi. Les biographes royaux Jonathan Dimbledy, Tom Bower, Tim Heald et Penny Junor sont notamment convoqués, tout comme les journalistes Ingrid Seward et David Frost, ou encore l’historienne Anna Whitelock. D’autres témoignages émanent de personnalités ayant pu approcher, parfois de très loin, le souverain, tels que Peter Harlech Jones, l’un des huissiers ayant participé à l’organisation de l’investiture en tant que Prince de Galles, Ifor Bowen Griffith, le maire de Caernarfon, et John Stonborough, un ancien camarade de Gordonstoun. Plus proches de la famille royale, figurent l’ancien conseiller Jonathon Porritt, l’un des secrétaires privés de feu Elizabeth II, William Heseltine, et la Comtesse Mountbatten, une cousine.

Toutes ces personnalités interrogées çà et là révèlent malgré elles la faiblesse de ce genre de documentaire. Aussi honorables soient-elles, elles ne sont en effet que des ombres très lointaines dans la vie de Charles III. Les plus méchants et les plus cyniques parleront même de « seconds couteaux ». Les spectateurs se retrouvent confrontés à des biographes parfois non-officiels n’ayant jamais pu s’entretenir en privé avec le monarque. La cousine Mountbatten est une membre de la famille estimable, certes, mais située dans des branches très éloignées de l’arbre généalogique. Le public se retrouve presque à parler de Charles III avec des personnes qui connaissent quelqu’un, qui connaît quelqu’un qui l’a aperçu un jour de loin lors de telle ou telle cérémonie. Charles III : Portrait d’un Roi Controversé manque cruellement de témoins directs, alors même que tout un chacun aurait aimé entendre Camilla, William, Harry et d’autres personnalités d’envergure qui, ici, sont évidemment absentes. Le titre original du documentaire, Charles III: In His Own Words, est lui-même trompeur, étant donné qu’il n’y a à l’évidence pas eu d’interview directe du personnage principal, ses interventions se limitant à des phrases sorties de leur contexte et provenant d’autres films ou émissions.

Le deuxième écueil, là-encore récurrent dans ce type de film, est la diffusion à tout prix d’un parfum de scandale. Charles III : Portrait d’un Roi Controversé commence à peine que déjà, le spectateur est confronté au Roi qui, lors d’une réception au château de Hillsborough organisée le 13 septembre 2022, quelques jours seulement après son accession au trône, se fâche tout rouge à cause d’un stylo à plume qui fuit. C’est le fameux « Scandale du crayon » qui n'a en réalité de scandaleux que l’énorme attention portée sur lui par les médias !

Dans la suite du documentaire, tous les événements de la vie de Charles III sont irrémédiablement connectés à un autre « scandale » alors même que cela n’a pas vraiment lieu d’être. À quatorze ans, Charles III est en sortie scolaire à Stornoway, en Écosse. Plutôt que de nous parler des tenants et des aboutissants de cette journée, le documentaire s’arrête sur le simple fait que, pour fuir la presse, il s’est réfugié dans un bar où, malgré son jeune âge, il s’est fait servir un verre de cherry brandy ! Le 26 janvier 1994, Charles III est en visite officielle à Sydney, en Australie. Le spectateur ne verra, ni ne saura rien de ce voyage, hormis le fait qu’un réfugié cambodgien a fait feu près de lui avec une arme chargée à blanc. Charles III : Portrait d’un Roi Controversé mentionne les combats menés dans le domaine de l’environnement ou de la protection du patrimoine. Mais aucun de ces derniers n’est expliqué, le documentaire insinuant juste que Charles III ne respecte par la constitution de son pays puisqu’il se permet de communiquer ses opinions à certains ministres. C’est le fameux scandale des black spider memos

Charles III : Portrait d’un Roi Controversé aborde également la scolarité du jeune prince. Et c’est là un sujet hautement intéressant. Mais au lieu de son cursus, il ne sera retenu qu’une chose, que l’adolescent fut molesté lors de son passage à Gordonstoun. Et puis, bien sûr, comme il est d’usage, il semble indispensable d’aller se cacher sous le lit des Windsor pour voir ce qu’il s’y passe. Aussi, la vie amoureuse du Roi devient un sujet d’une grande importance. Les moments de bonheurs avec Diana sont tout bonnement effacés au profit des peines des uns et des autres. Il est évident que le mariage ne fut pas des plus heureux, ni des plus réussis. Mais centrer cette union autour du seul personnage de Camilla ne vise rien d’autre qu’à faire du tapage. Le même problème se pose au moment d’évoquer la vie de famille. Charles est un père aimant. Le documentaire ne le nie pas. Mais il se termine en expliquant qu’il est désormais fâché à vie avec son second fils, Harry…

Après avoir visionné Charles III : Portrait d’un Roi Controversé, que peut retenir le spectateur ? Pas grand-chose, en définitive. Les plus naïfs se diront que ce souverain de notre siècle est un homme malheureux ayant souvent lui-même causé sa perte. Les plus antimonarchistes diront qu’il n’est qu’une « bête de foire » fort inutile qui n’a d’autre fonction que de divertir la presse. Les plus sentimentaux se diront que cet homme est un mauvais mari et un mauvais père. Les plus lucides se diront, heureusement, que le documentaire ne montre que la partie émergée de l’iceberg et que la vie du monarque ne peut se résumer qu’à des frasques, des scandales, des témoignages hasardeux…

Malgré tout, Charles III : Portrait d’un Roi Controversé ne mérite pas de finir à la poubelle. Le documentaire est tout d’abord ponctué de très belles images, filmées ou photographiées. Si les interventions des uns et des autres sont souvent inutiles et/ou futiles, les séquences méritent d’être vues. Les premières apparitions du jeune prince, encore bébé, ou bien encore certaines séquences officielles montrant les couronnements, les mariages, les voyages officielles, conservent évidemment toutes un caractère historique de premier plan. Si le parfum de scandale devient rapidement lassant, la personnalité de Charles III se dessine malgré tout petit à petit, ici ou là.

Certains plans le rendent même sympathique et surtout très humain. Son amusement et ses yeux qui frisent lorsqu’il est interrogé sur ses lettres envoyées aux ministres sont irrésistibles. Quant au « Scandale du crayon », un homme dont les doigts se trouvent tachés d’encre n’a-t-il pas le droit de pester contre son stylo ? À qui cela n’est-il jamais arrivé ? Malgré le poids des responsabilités, cela prouve que ces gens n’en restent pas moins des êtres capables d’exprimer des sentiments. Alors qu’Elizabeth II jouissait d’une aura incroyable la rendant presque surnaturelle et immortelle, chacun voit ici – peut-être faussement d’ailleurs – un successeur accessible et ayant les pieds sur terre.

Charles III : Portrait d’un Roi Controversé reste un document historique intéressant. Cherchant à faire sensation de manière parfois grossière, il permet d’esquisser la personnalité de Charles III. Mais il ne s’agit que d’un survol. Le film ne pouvant se suffire à lui-même, toute personne cherchant à en apprendre plus sur le monarque devra donc immanquablement aller chercher ailleurs.

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